Dolor: en el entrecruzamiento del psicoanálisis con expresión poética y pictórica







Freud subrayó primero el entrecruzamiento del psicoanálisis con otros campos del conocimiento humano, como la cultura y el arte. 

En este seminario web abordaremos la cuestión de la contribución del arte al desarrollo teórico del psicoanálisis, una contribución centrada en la cuestión del dolor. Si el dolor en la teoría psicoanalítica permanece en su esencia enigmática, la escritura poética, así como el arte pictórico, tienen el poder de penetrar este enigma del dolor. Los sueños, la asociación libre, la expresión poética y pictórica se examinarán como pasajes psíquicos que potencialmente se abren dentro de una persona para expresar y tratar su angustia, mientras que el analista y el paciente comparten este proceso con los artistas para desarrollar su propio ser. esfuerzo analítico y creativo. 

Jean-Claude Rolland propone desarrollar este entrecruzamiento a través de Paul Célan y Charles Baudelaire para la palabra poética, y a través de Leonardo da Vinci para la expresión pictórica en relación con una de sus pinturas más emotivas y misteriosas, el retrato de Ginevra de Benci. 

Silvana Rea entrecruzará el psicoanálisis y el arte basándose en la experiencia entre el receptor y la obra de arte. Para ello, se abordará en lectura la obra poética de la artista brasileña contemporánea, Flávia Ribeiro, que Silvana acompañó en su taller durante algunos años.

Meg Harris Williams propone presentar la 'carga del misterio' como se ve en la 'Oda sobre la melancolía' de Keats, a la luz del problema solitario de tolerar las reacciones mixtas al dolor y la belleza que estimulan nuestro autoconocimiento. 

Jean-Claude Rolland - es psicoanalista, miembro de formación de la Asociación Francesa de Psicoanálisis, y fue su presidente en 1994-1995. Miembro de la IPA, es un ex representante europeo de la junta de la IPA. Trabaja en Lyon y coeditó los Libres Cahiers pour la Psychoanalyse. Es autor en Gallimard de "Sanación del dolor del amor" (1998), "Antes de ser el que habla" (2006), "Los ojos del alma" (2010), "Cuatro ensayos sobre la vida del Soul "(2015) y su último libro" Talk and Soul "está impreso. Descargar papel


silvana rea - Es miembro de pleno derecho y Director Científico de la Sociedad Brasileña de Psicoanálisis de São Paulo. Graduada en cine y psicología, maestra y doctora en psicología del arte en la Universidad de São Paulo, fue editora de la Revista Brasileña de Psicoanálisis. Es autora de los libros, "A través de los poros del mundo: una lectura psicoanalítica de la poesía de Flávia Ribeiro" y "Transformativadade: aproximaciones entre el psicoanálisis y el arte". También ha publicado algunos artículos, como "El libro de almohadas", "Ismael Nery y lo andrógino como cosmogonía", "La dimensión estética de la experiencia del otro", "Freud y HD: psicoanálisis en versos libres", " Lygia Clark: el arte es vida ". Descargar papel


meg harris williams - Es un crítico literario especializado en la relación entre psicoanálisis, experiencia estética y literatura, en particular la poesía. Miembro honorario del Psychoanalytic Center of California, ha publicado numerosos artículos sobre la relación entre psicoanálisis, arte y literatura. Meg es profesora invitada en la Clínica Tavistock y AGIP (Asociación de Psicoterapia de Grupo e Individual). Es editora de The Harris Meltzer Trust y sucesora de Clunie Press con la que ha estado involucrada desde su fundación en la década de 1970. Sus libros incluyen "The Apprehension of Beauty" (con Donald Meltzer; 1998), "The Vale of Soulmaking" (2005), "The Aesthetic Development" (2010), "Bion's Dream" (2010), "Hamlet in Analysis" ( 2014), “The Becoming Room: filmando la memoria del futuro de Bion” (2016) y “El arte de la personalidad en la literatura y el psicoanálisis” (2017). Su último libro, "Dream Sequences in Shakespeare", será publicado este año por Routledge. Descargar papel


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Comentarios

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Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-01 21:46 PM
Comentarios:   Una pregunta para el Sr. Rolland: el paso del dolor al placer en la creación e incluso la percepción de una obra de arte, ya sea un poema o cualquier otra creación artística o incluso científica, está relacionada con la represión. ¿Puedes explicar cómo el proceso creativo y el paso del dolor al placer están relacionados con la represión?


RESPUESTA
JEAN CLAUDE ROLLAND

Retrato o autorretrato?
A propósito de las corrientes contrarias a la devolución


En respuesta a la pregunta escrita del webinaire: ¿comentar el proceso creativo y el pasaje de la duela au plaisir sont-ils liés au refoulement?

Appuyons-nous déjà sur cette déclaration du peintre George Braque recueillie par Tériade:

L'imprégnation c'est tout ce qui rentre en nous inconsciemment, qui se développe et se conserve par l'obsession et qui se délivre un jour par l'hallucination créatrice. La alucinación es la realización definitiva de una larga impronta, no los debutantes disponibles en notre jeunesse (...) Je constate que je peins aujourd'hui les aspirations qui m'avaient alors touché sans que je m'en aperçoive et qui m ' avaient poursuivi depuis mystérieusement jusqu'à sa réalisation définitive (...) je découvre mon tableau sur la toile comme les voyantes voient l'avenir dans le marc de café.

Et admettons que ce soit ce qui a été refoulé chez le jeune Léonard dans sa prime jeunesse qui lui dicte, par proyection, la représentation qu'il donne de Ginevra. Son propre évitement de la elegida sexuelle le rapproche de son modèle pleinement engagé dans la philosophie de l'amour courtois. La douleur de celle-ci permet à Léonard de découvrir, de lire, sa propre douleur infantile, celle qu'on peut supposer qu'il a traversée lors de sa séparation violente avec sa mère Katarina - sepaparation dont Freud trouve encore des traces dans La Vierge avec sainte Anne. Pour cela plus que son respect, c'est la main du peintre, guidée par les émotions inspirées par son modèle, qui a contraint son pinceau à reconstruire cette mémoire perdue.

Cette entreprise supongamos que le geste s'appuie sur les détails «conciliables» que le modèle a offert à son respecto - c'est-à-dire des détails communs au modèle et à l'objet de mémoire dont le premier va devenir le « representante »; ces détails doivent se montrer plus insistants que d'autres puisqu'ils sont doublement chargés, de leur valeur propre, et d'une valeur de transfert leur venant de ce qu'ils représentent. Por ejemplo, la réplica del documento cadavérique du visage de la jeune femme pourrait avoir appartenu à la disparue que l'enfant aurait pleurée; la moue qu'on peut dire par euphémisme «boudeuse» pourrait prendre la place d'un sourire soudainement figé, celui de la disparue ou celui de l'enfant découvrant cette disparition. En el legeage devenu représentation et non plus mimesis de l'objet désiré, se mêlent les traits propres au sujet et à l'objet. C'est un patchwork des deux. El troisième détail est le look «perdu» où se fondent tous les ingrédients de la douleur ordinaire - peine chagrin déception tristesse plainte reproche colère - y qui se fondent comme en une complainte adressée au espectateur en un assemblage faisant résonner leur même tragique source. De sorte que cet assemblage solidarise les trois acteurs, le modèle (au centre) l'auteur (en amont) le spectateur (en aval). Lo que se refiere a modèle tient sous l'empire de sa détresse l'artiste et son spectateur.

Même si le spectateur n'en a ni l'autorisation ni les moyens, l'interprétation of l'œuvre, c'est-à-dire le déchiffrement de sa signification et de sa visée (passionnelle ou intellectuelle, amoureuse ou curieuse, esthétique ou psicologique) et sa décomposition de ce qui vient du passé ou de l'actuel, supongamos a lui pour se Libérer de l'emprise par laquelle l'œuvre envoutante pourrait le hanter indéfiniment.

J'ai émis l'hypothèse qu'en reprenant ce même portrait avec Mona Lisa quarante ans plus tard, le peintre se libérait lui-même de l'emprise qu'avait exercé son premier modèle, y qu'en substituant à ce premier portrait triste un portrait heureux, jucundus, il avait converti sa noire et atone mélancolie en une mélancolie harmonieuse et «musicienne». La mise en perspective historique du travail du peintre rend visible un mouvement spirituel que, par son statisme, chaque tableau pris isolément fige. Du sourire perdu de Ginevra à celui qu'esquisse Mona Lisa et qui lui vaut encore l'adulation des foules se devine un fil d'Ariane ouvrant à la recherche un chemin dans l'entrelacs d'émotions et de désir et de terreurs baignant intérieurement le peintre lors de l'ejecution de ces tableaux. Du dernier, notons-le, le peintre éprouvera une inmenso douleur à devoir s'en séparer. Mérejkowsky, don Le Roman de Léonard de Vinci, inspirador Freud y relator cette scène:

Léonard amenaza por la Inquisición de Florencia en compañía de un aprendiz, importante con el retrato de Mona Lisa et gagna le château d'Amboise o el savait que le roi François Premier l'accueillerait. À la vue du tableau le roi supplia le peintre de le lui céder. Celui-là s'y refusa tout d'abord; puede presentarse un nuevo registro de pareille offre et pareil maitre ou parce qu'il souhaitait lui en faire don, il se rendit un soir tard à sa cour; François et sa sœur Marguerite d'Angoulème le reçurent; Voici un fragment de leur mélancolique colloque:

- Seigneur prononça-t-il avec esfuerzo soyez miséricordieux, ne m'enlevez pas ce portrait! Il est votre et je ne veux pas de votre argent mais laissez le moi jusqu'à ma mort ..
- Sire, intervint la Princesse Marguerite, exaucez la prière de Maitre Léonard. Il le mérite ... Ne le voyez-vous pas? Il l'aime encore
- Mais elle est morte
- Qu'importe! N'aime -t-on pas les morts?
Quelque eligió brilla dans les yeux de Léonard de si enfantin et de si malheureux que le roi dit
- Ne crains rien mon ami, personne ne te séparera de ta Joconde.

La vue du modèle produit l'inspiration no le premier temps est la projection automatique sur ce dernier d'une représentation du monde inconscient (la proyección étant la seule voie oferte à cette dernière de se manifestter). Le même mouvement dans la vie amoureuse donne le coup de foudre, dans l'ejercice de l'art, l'inspiration. Inspiration parce que l'mage est aspirée à l'intérieur puis sera expirée dans l'œuvre. Inspiration et expiration relèvent toutes deux d'un même automatisme inconscient.

Mettons le zoom sur l'entracte ménagé entre ces deux temps que Braque préfère désigner d '«imprégnation» et de «réalisation définitive». En peut imaginer qu'il s'y producto instantanément une multitud de complejos de operaciones y diversidades no en ne peut discernir la presencia en el producto fini. Imaginons un acteur qui, entre deux scènes, doit changer ses Vêtements de cour contre un costume de guerre. Comme ce dernier doit, pour se faire, se déshabiller, la elegido vue est d'abord décomposée afin que soient repérés les détails equivalents à ceux du modèle virtuel, que ceux-ci soient arrachés à la masse originelle et réservés. Après cette décomposition premiere, l'élément retenu sera intégré à la représentation qu'en construit le peintre et d'après laquelle il va réaliser son tableau. Cet art de l'intégration, qui manifeste l'memense talent du peintre, se voit dans le tableau final: ainsi de la pâleur sursignifiée, überdeutlich, dit Freud, qui tranche sur la configuration générale du visage; En enviado que ce détail est une pièce rapportée, il fait comme saillie sur la surface du tableau, el espectador le ressent comme une étrangeté, l'invite à une démarche interprétative en l'érigeant au rang de «signifiant d'image» ou d '«imagen significativa».

En remarque que ces signifiants afectuosa sobre la representación del personnage, tré peu le décor dans lequel celle-ci s'inscrit. Dans ce dernier en trouve tout au plus quelques informations sur le premier: le bouquet de génévrier, outre qu'il rappelle le prénom de la jeune femme, est une allusion marquée à la Chasteté dont cet arbre et le symbole; El sur de la droite pourrait évoquer sa mélancolie, sans doute ancienne, antérieure à sa rupure avec Bernardo Bambo. De ce dernier détail, dans la mesure où il serait la répétition furtive, déplacée, du même thème de la mélancolie éclatante qui ravage le visage de Ginévra, peut se demandder s'il ne mérite pas, lui aussi, la qualité de signifiant d 'imagen. Cette répétition d'image indicarait qu'une opération opération psychique se produit là: une reprise tempérée du refoulement des moctions afectives et des représentations de désir qui ont engendré la «maladie mélancolique» éclatante manifestée par le visage.

C'est une eligió mal connue encore que le refoulement est une opération très complexe qui admet différentes formes: à côté de ce qu'on range communément sous ce mot, d'une répression violente, durable possiblement reversible qu'au prix de technics sofistiquées (telle que la fabrication du symptôme, ou la cure analytique), il existe des formes moins massives, ponctuelles, naturellement réversibles qui consentnt au refoulé une voie vers le retour à la conscience et au langage, et qui accordent à la douleur le bénéfice de s'exprimer autrement que par l'hébétude. La douleur de Ginevra laisse sans voix le spectateur que je suis, l'étang me fait parler; et il es probable qu'il en fut ainsi pour le peintre dont l'ejecution du visage fait appel à une pure rhetorique de l'image tandis que celle de l'étang laisse voir une méditation qui en appelle à sa culture et à sa langue .

Ainsi entre la pâleur agonique du visage de Ginevra et la présence apaisante de l'eau dormante de l'étang, le disours d'image compli par le peintre parcourt-il un chemin permettant à la forma inconsciente de désir - l'amour pour un objet perdu qui a initié en un temps inmémorial le processus mélancolique- de refluer à la surface de l'esprit, de''offrir à la parole et donc de se dégager partiellement de la douleur; Más notons qu'on ne sort cependant pas de l'opération du refoulement: simplement le cours de celui-ci se corrige, s'adoucit, s'apprivoise. Ginevra s'extrait de son isolement; sous son désespoir se dessine le retour d'un espoir qui «brille comme un brin de paille dans l'étable».

Je veux conclure sur ceci: le refoulement est constamment présent dans la vie de l'esprit, ce qui a été une fois inconsciente n'échappera plus à cet état, seulement par alternance et fugacement et, pour progreser vers la conscience, le refoulé devra emprunter cette même voie du refoulement dans un sens contraire. Nous en faisons incessamment l'expérience dans la cure: le discours de l'analysant ne va pas d'un seul tenant de l'inconscient au conscient, il procède, comme the nage of l'hippocampe par avancée et recul, élévation et plongée , révélation et obscurcissement. Ce mouvement de l'esprit superficiellement désordonné, erratique, Freud le désignait par les mots de Durcharbeitung, trabajando, «perlaboration». Freud en L'interprétation du rêve écrit:

Ces souhaits inconscients constituyente pour toutes les orientations animiques ultérieures une contrainte à laquelle elles doivent se plier, qu'elles peuvent éventuellement s'efforcer of faire dériver et de diriger vers des buts plus élevés. Un grand secteur du matériel mnésique reste par suite de ce retard inaccesible à l'investissement préconscient.


Nous en retrouvons l'équivalent chez le peintre à qui l'inspiration, grâce à la proyection, offre une saisie immédiate de son motif mais qui doit par son art, son obstination, le rendre visible lisible et aimable.

Le même refoulement qui engagementa sa victime dans la détresse la plus absolue devient darta certaines circonstances alternative - l'art, la cure - l'outil de sa guérison.

Actualizado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Actualizado en:   2020-03-23 02:30 PM
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Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-23 14:38 PM
Comentarios:   TRADUCCIÓN AL INGLÉS sigue
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Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-21 19:43 PM
Comentarios:   En respuesta a la pregunta escrita del seminario web: ¿Cómo se relacionan el proceso creativo y la transición del dolor al placer con la represión?

Confiemos ya en esta declaración del pintor George Braque recopilada por Tériade:
La impregnación es todo lo que nos llega inconscientemente, que se desarrolla y se preserva por la obsesión y que se libera un día por la alucinación creativa. La alucinación es el logro definitivo de una larga impregnación cuyos comienzos se remontan a nuestra juventud (...) Veo que hoy pinto las aspiraciones que me habían tocado entonces sin darme cuenta y que había continuado misteriosamente desde su realización final ( ...) Descubro mi pintura en el lienzo cuando los visionarios ven el futuro en el café molido.

Y admitamos que esto es lo que fue reprimido en el joven Leonardo en su primera juventud que le dicta, por proyección, la representación que le da a Ginevra. Su propia evitación de lo sexual lo acerca a su modelo totalmente comprometido con la filosofía del amor cortesano. El dolor de esto le permite a Leonardo descubrir, leer, su propio dolor infantil, aquello por lo que uno puede suponer que pasó durante su separación violenta de su madre Katarina, separación de la cual Freud todavía encuentra rastros en La Virgen con Santa Ana. Por esto más que su mirada, es la mano del pintor, guiada por las emociones inspiradas por su modelo, lo que obligó a su pincel a reconstruir este recuerdo perdido.
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Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-21 19:51 PM
Comentarios:   Esta empresa supone que el gesto se basa en los detalles "reconciliables" que el modelo ha ofrecido a su mirada, es decir, detalles comunes al modelo y al objeto de la memoria, el primero de los cuales se convertirá en el "representante"; Estos detalles deben ser más insistentes que otros, ya que están doblemente cargados, de su propio valor y de un valor de transferencia que proviene de lo que representan. Por ejemplo, la palidez realmente cadavérica del rostro de la joven podría haber pertenecido a la mujer desaparecida que el niño habría llorado; el puchero que se puede decir con la subestimación "malhumorado" podría tomar el lugar de una sonrisa repentinamente congelada, la de los desaparecidos o la del niño que descubre esta desaparición. En la cara que se ha convertido en una representación y ya no es una mimesis del objeto deseado, las características específicas del sujeto y del objeto se mezclan. Es un mosaico de ambos. El tercer detalle es la mirada "perdida" en la que se basan todos los ingredientes del dolor ordinario: pena, decepción, tristeza, queja, reproche, ira, y que se derriten como en un lamento dirigido al espectador en una asamblea que hace resonar su misma fuente trágica. Para que esta asamblea reúna a los tres actores, el modelo (en el centro) el autor (río arriba) el espectador (río abajo). La mirada de la modelo mantiene al artista y a su espectador bajo la influencia de su angustia.

Incluso si el espectador no tiene la autorización ni los medios, la interpretación de la obra, es decir, descifrar su significado y su objetivo (apasionado o intelectual, enamorado o curioso, estético o psicológico) y su descomposición de lo que viene. del pasado o de la corriente, se le impone que se libere de las garras por las cuales el trabajo cautivador podría perseguirlo indefinidamente.
Supuse que al tomar este mismo retrato con Mona Lisa cuarenta años después, el pintor se estaba liberando del agarre de su primer modelo y sustituyendo ese primer retrato. triste y feliz retrato, Jugundus, había convertido su melancolía negra y tonificada en una melancolía armoniosa y "músico". La perspectiva histórica de la obra del pintor hace visible un movimiento espiritual que, por su estatismo, toma cada cuadro de forma aislada. Desde la sonrisa perdida de Ginebra hasta el boceto de Mona Lisa, que todavía merece la adulación de las multitudes, se convierte en un hilo de Ariane, buscando una manera de entrelazar las emociones, el deseo y los terrores que se bañan tierra adentro. El pintor al realizar estas pinturas. De lo último, tenga en cuenta que el pintor sentirá un inmenso dolor al tener que separarse de él. Mérejkowsky, cuya novela de Leonardo da Vinci inspiró tanto a Freud, relata esta escena:

Leonardo, amenazado por la Inquisición, huyó de Florencia con un aprendiz, se llevó el retrato de Mona Lisa y ganó el castillo de Amboise, donde sabía que el rey François Prime lo recibiría. Al ver la pintura, el rey le rogó al pintor que se la diera. El primero se negó; luego, sintiendo que no podía resistir tal oferta y tal maestro, o porque deseaba dárselo, fue a su corte una noche tarde; François y su hermana Marguerite d 'Angoulème lo reciben; Aquí hay un fragmento de su coloquio melancólico:

- Señor dijo con esfuerzo sé misericordioso, ¡no me quites esta foto mía! Es tuyo y no quiero tu dinero, pero déjame hasta que muera.
"Señor", dijo la princesa Marguerite, "escuche la oración de Maitre Léonard". Se lo merece ... ¿No lo ves? El todavía lo ama
- Pero ella está muerta.
- ¡Importa! ¿No te gustan los muertos?
Algo brilló en los ojos de Leonard, tan infantil y tan infeliz que el rey dijo
- No temas nada mi amigo, nadie te separará de tu Joconde.

La visión del modelo está inspirada en que la primera vez es la proyección automática sobre la última de una representación inconsciente del mundo (la proyección es la única forma de que se manifieste). El mismo movimiento en la vida amorosa da inspiración a los rayos, en el ejercicio del arte. Inspiración porque la imagen es absorbida por dentro y luego expiró en el trabajo. La inspiración y la expiración son ambas del mismo automatismo inconsciente.
Vamos a ampliar el intervalo entre estas dos veces que Braque prefiere llamar "impregnación" y "realización final". Uno puede imaginar que existe una multitud instantánea de operaciones complejas y diversas de las cuales no se puede discernir la presencia en el producto terminado. Imagine un actor que, entre dos escenas, tiene que cambiarse la ropa de la corte por un traje de guerra. Como este último debe, para hacerlo, desvestirse, lo que se ve primero se descompone de modo que se identifiquen detalles equivalentes a los del modelo virtual, que se separen de la masa original y se reserven. Después de esta primera descomposición, el elemento retenido se integrará en la representación que construye el pintor y a partir de la cual creará su pintura. Este arte de la integración, que manifiesta el inmenso talento del pintor, se puede ver en la imagen final: así, la palidez sobredimensionada, überdeutlich, conocida como Freud, que contrasta con la configuración general de la cara; creemos que este detalle es una pieza adicional, sobresale de la superficie de la pintura, el espectador lo siente como algo extraño, lo invita a un proceso interpretativo elevándolo al rango de "significante de imagen" o de "imagen significativa ".

Notamos que estos significantes afectan principalmente la representación del personaje, muy poco la decoración en la que encaja. En el último hay como máximo alguna información sobre el primero: el ramo de enebro, además de recordar el primer nombre de la joven, es una alusión marcada a la castidad con la que este árbol y el símbolo; El estanque de la derecha podría evocar su melancolía, indudablemente vieja, antes de su ruptura con Bernardo Bambo. A partir de este último detalle, en la medida en que sería una repetición furtiva, fuera de lugar, del mismo tema de la brillante melancolía que devasta la cara de Ginévra, uno puede preguntarse si él tampoco merece la calidad de significante de la imagen. Esta repetición de la imagen indicaría que está teniendo lugar una operación psíquica: una reanudación templada de la represión de los movimientos emocionales y de las representaciones del deseo que han engendrado la deslumbrante "enfermedad melancólica" manifestada por la cara.
Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-21 19:41 PM
Comentarios:   Todavía se sabe poco que la represión es una operación muy compleja que admite diferentes formas: junto con lo que comúnmente se clasifica bajo esta palabra, una represión violenta y duradera posiblemente reversible solo a costa de técnicas sofisticadas (como la fabricación del síntoma). , o la cura analítica), hay formas menos masivas, puntuales, naturalmente reversibles que permiten a los reprimidos un camino de regreso a la conciencia y al lenguaje, y que le otorgan al dolor el beneficio de expresarse de otro modo que no sea la estupidez. El dolor de Ginevra deja al espectador que estoy sin palabras, el estanque me hace hablar; y es probable que fuera así para el pintor cuya ejecución de la cara requiere una retórica pura de la imagen, mientras que la del estanque permite ver una meditación que llama a su cultura y su idioma.

Así, entre la palidez agónica de la cara de Ginevra y la calmante presencia del agua quieta del estanque, el discurso de la imagen realizado por el pintor recorre un camino que permite la formación inconsciente del deseo: amor por un objeto perdido que inició en el tiempo el proceso melancólico. - fluir de regreso a la superficie de la mente, ofrecerse al habla y, por lo tanto, liberarse parcialmente del dolor; pero tenga en cuenta que, sin embargo, no salimos de la operación de represión: simplemente el curso de esta última se corrige, suaviza, doma. Ginevra se extrae de su aislamiento; debajo de su desesperación está el regreso de una esperanza que "brilla como una ramita de paja en el establo".

Quiero concluir sobre esto: la represión está constantemente presente en la vida de la mente, lo que una vez estuvo inconsciente ya no escapará de este estado, solo por alternancia y fugazmente, y para avanzar hacia la conciencia, los reprimidos deben tomar este mismo camino de represión. en sentido contrario. Lo experimentamos sin cesar en la cura: el discurso del analizando no va de una pieza del inconsciente al consciente, continúa, como la natación del hipocampo al avanzar y retirarse, elevar y zambullirse, la revelación y el oscurecimiento. Freud llamó a este movimiento superficial, desordenado y errático de la mente, por las palabras de Durcharbeitung, trabajando, "perlaboration". Freud en La interpretación del sueño escribe:

Estos deseos inconscientes constituyen para todas las orientaciones animadas posteriores una restricción a la que deben cumplir, que posiblemente pueden tratar de hacer que se desvíen y se dirijan hacia objetivos más altos. Como resultado de este retraso, un gran sector de equipos de memoria permanece inaccesible para la inversión preconsciente.


Encontramos el equivalente en el pintor a quien la inspiración, gracias a la proyección, ofrece una comprensión inmediata de su motivo pero que, por su arte, su obstinación, debe hacerlo visible, legible y amable.

La misma represión que involucró a su víctima en la angustia más absoluta se convierte en ciertas circunstancias alternativas: el arte, la cura, la herramienta de su cura.
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Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-21 19:40 PM
Comentarios:   Todavía se sabe poco que la represión es una operación muy compleja que admite diferentes formas: junto con lo que comúnmente se clasifica bajo esta palabra, una represión violenta y duradera posiblemente reversible solo a costa de técnicas sofisticadas (como la fabricación del síntoma). , o la cura analítica), hay formas menos masivas, puntuales, naturalmente reversibles que permiten a los reprimidos un camino de regreso a la conciencia y al lenguaje, y que le otorgan al dolor el beneficio de expresarse de otro modo que no sea la estupidez. El dolor de Ginevra deja al espectador que estoy sin palabras, el estanque me hace hablar; y es probable que fuera así para el pintor cuya ejecución de la cara requiere una retórica pura de la imagen, mientras que la del estanque permite ver una meditación que llama a su cultura y su idioma.

Así, entre la palidez agónica de la cara de Ginevra y la calmante presencia del agua quieta del estanque, el discurso de la imagen realizado por el pintor recorre un camino que permite la formación inconsciente del deseo: amor por un objeto perdido que inició en el tiempo el proceso melancólico. - fluir de regreso a la superficie de la mente, ofrecerse al habla y, por lo tanto, liberarse parcialmente del dolor; pero tenga en cuenta que, sin embargo, no salimos de la operación de represión: simplemente el curso de esta última se corrige, suaviza, doma. Ginevra se extrae de su aislamiento; debajo de su desesperación está el regreso de una esperanza que "brilla como una ramita de paja en el establo".

Quiero concluir sobre esto: la represión está constantemente presente en la vida de la mente, lo que una vez estuvo inconsciente ya no escapará de este estado, solo por alternancia y fugazmente, y para avanzar hacia la conciencia, los reprimidos deben tomar este mismo camino de represión. en sentido contrario. Lo experimentamos sin cesar en la cura: el discurso del analizando no va de una pieza del inconsciente al consciente, continúa, como la natación del hipocampo al avanzar y retirarse, elevar y zambullirse, la revelación y el oscurecimiento. Freud llamó a este movimiento superficial, desordenado y errático de la mente, por las palabras de Durcharbeitung, trabajando, "perlaboration". Freud en La interpretación del sueño escribe:

Estos deseos inconscientes constituyen para todas las orientaciones animadas posteriores una restricción a la que deben cumplir, que posiblemente pueden tratar de hacer que se desvíen y se dirijan hacia objetivos más altos. Como resultado de este retraso, un gran sector de equipos de memoria permanece inaccesible para la inversión preconsciente.


Encontramos el equivalente en el pintor a quien la inspiración, gracias a la proyección, ofrece una comprensión inmediata de su motivo pero que, por su arte, su obstinación, debe hacerlo visible, legible y amable.

La misma represión que involucró a su víctima en la angustia más absoluta se convierte en ciertas circunstancias alternativas: el arte, la cura, la herramienta de su cura.
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Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-01 21:45 PM
Comentarios:   Una pregunta para la Sra. Rea: ¿cree que el psicoanálisis de un poeta debe incluir al psicoanalista leyendo sus libros antes o después o durante el análisis? O, tal vez, sería mejor discutir los poemas que son importantes para el poeta con el psicoanalista.


RESPONDER:
Todos los analizados son diferentes y únicos. Y como alteridad, depende de todos ellos sacudir nuestras ideas preconcebidas e incluso nuestro sentimiento de identidad. El analista debe estar abierto a esto, abierto a escuchar lo que no se sabe ni se habla para poder conocer y elaborar un discurso. El conocimiento previo termina convirtiéndose en algo que amortigua este tan necesario impacto en el proceso analítico.
Con cualquier paciente trato de abrirme para conocer a la persona que viene a mí, como viene. Si él / ella es un artista o no.
Muchos artistas pacientes en algún momento sienten la necesidad de traer su trabajo durante la sesión. A menudo quieren compartir algún trabajo nuevo conmigo, quieren mi testimonio de un cambio o quieren intercambiar ideas sobre lo que podemos ver en el trabajo. A menudo traen algo aún sin terminar, algo por venir.
Me abro a estas situaciones clínicas, entendiendo el trabajo como cualquier otro material que aparece en una sesión de análisis; puede ser hablado, soñado, escrito en whattsapp o elaborado como obra de arte.
Y particularmente, si consideramos que el trabajo es la subjetividad del artista que se construye como forma, el artista y su trabajo en la sesión de análisis son uno.
En este punto, estoy de acuerdo con Winnicott, quien dice que un análisis debe ofrecer el entorno que necesita el paciente.
Actualizado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Actualizado en:   2020-03-01 10:11 PM
Responder
Publicado por:   Dra. silvana rea
Publicado en:   2020-03-02 11:42 AM
Comentarios:   No podemos perder de vista el hecho de que una obra de arte no es una persona.
Pero al igual que la relación entre analista y paciente, entre lector y trabajo, también se trata del encuentro de la otredad, que exige escuchar y requiere comprensión.
Sin embargo, el artista solicita una interpretación si está en proceso de análisis, incluso si trae el trabajo para su análisis personal. Pero la comprensión producida en la sesión, el juego de figurabilidad experimentado allí, le concierne. Fuera de este alcance, lo que se ofrece para la interpretación (o lectura) es su trabajo, cuyo impacto y lectura también pone en marcha el juego de la figurabilidad y el conocimiento, pero se convierte en un elemento de la cultura.
Tanto el artista en el sofá como el trabajo en la exposición, como una relación de alteridad, crean un espacio "intermedio" como el espacio analítico transferencial, un lugar de experiencia donde el mismo se convierte en otro a través de la capacidad de migrar de uno a otro.
Transitar los límites del yo al otro es un punto fundamental de la ética psicoanalítica. Y en este sentido, entender el trabajo o el artista como la alteridad, como uno que se abre al otro, nos lleva a la ética de reconocer al otro como otro y no como "otro yo", lo que indica el acto de dominación y violencia. Esta ética que debería guiarnos dentro y fuera de la oficina.
Recientemente, hubo censura de la exposición "Queermuseu: cartografías de la diferencia en el arte brasileño". Entonces, la artista internacionalmente reconocida y premiada Adriana Varejão sufrió un violento ataque en la web, fotomontajes de ella en posiciones casi pornográficas y con malas palabras. Vea, como en el psicoanálisis, el arte nos lleva a la apertura hacia el otro, quien, si no se lo considera en su derecho a la otredad, podría ser víctima de violación ética y violencia.
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Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-01 21:45 PM
Comentarios:   Una pregunta para la Sra. Williams: ¿crees que el dolor principal del poeta se debe a su poder de proyección y su personalidad constantemente cambiante que devora su tiempo interior?

RESPONDER:
Intentaré escribir una respuesta que cubra varios de los puntos originales planteados. Creo que el poeta tiene un poder especial de percepción más que de proyección; proyección-introyección es el mecanismo habitual. La capacidad de percibir la realidad externa se basa en el grado en que estamos en contacto con la realidad interna. El dolor del poeta se deriva de la percepción de la belleza del mundo (incluida la belleza humana y psíquica) y los ataques sobre él, y escribe poesía básicamente porque tiene ese talento particular y siente la necesidad de usarlo para tratar de restaurar o reparar el belleza dañada Es muy posible que tenga dolores de vida personales, pero estos se absorben en el dolor general de la percepción elevada, que se agudiza y alivia con el proceso de trabajo (poesía). Las personas cambiantes son como vértices cambiantes: son formas de percepción, desde diferentes ángulos, que llegan al corazón del dolor. Pero el poeta a menudo siente que su tiempo personal se está utilizando en nombre de la humanidad en su conjunto, y es más beneficioso para los demás que para sí mismo.
Actualizado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Actualizado en:   2020-03-01 10:13 PM
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Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-01 21:44 PM
Comentarios:   ¿Podría la persona cambiante ser comparada con múltiples personalidades?
Responder
Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-01 21:44 PM
Comentarios:   ¿Diría usted que el psicoanálisis se entrega a una formación de compromiso entre su dimensión artística y científica, sin poder desarrollar completamente uno y otro?
Responder
Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-01 21:44 PM
Comentarios:   Una pregunta para todos: ¿dejamos nuestras almas en el sofá cuando nos convertimos en analizados?
Responder
Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-01 21:43 PM
Comentarios:   Una pregunta para cualquiera o todos los panelistas. ¿Podría desarrollar amablemente el problema de la inhibición de la expresión del dolor dentro de la cura?
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Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-01 21:43 PM
Comentarios:   Para Silvana: ¿Existe un problema ético sobre la interpretación de la obra de arte / interpretación en el análisis?
Responder
Publicado por:   Dra. silvana rea
Publicado en:   2020-03-01 22:50 PM
Comentarios:   No podemos perder de vista el hecho de que una obra de arte no es una persona.
Pero al igual que la relación entre analista y paciente, entre lector y trabajo, también se trata del encuentro de la otredad, que exige escuchar y requiere comprensión.
Sin embargo, el artista solicita una interpretación si está en proceso de análisis, incluso si trae el trabajo para su análisis personal. Pero la comprensión producida en la sesión, el juego de figurabilidad experimentado allí, le concierne. Fuera de este alcance, lo que se ofrece para la interpretación (o lectura) es su trabajo, cuyo impacto y lectura también pone en marcha el juego de la figurabilidad y el conocimiento, pero se convierte en un elemento de la cultura.
Tanto el artista en el sofá como el trabajo en la exposición, como una relación de alteridad, crean un espacio "intermedio" como el espacio analítico transferencial, un lugar de experiencia donde el mismo se convierte en otro a través de la capacidad de migrar de uno a otro.
Transitar los límites del yo al otro es un punto fundamental de la ética psicoanalítica. Y en este sentido, entender el trabajo o el artista como la alteridad, como uno que se abre al otro, nos lleva a la ética de reconocer al otro como otro y no como "otro yo", lo que indica el acto de dominación y violencia. Esta ética que debería guiarnos dentro y fuera de la oficina.
Recientemente, hubo censura de la exposición "Queermuseum: cartografías de la diferencia en el arte brasileño". Luego, la artista internacionalmente reconocida y premiada Adriana Varejão, que estaba en contra de cerrar la exposición, sufrió un violento ataque web, fotomontajes de ella en posiciones pornográficas y con malas palabras. Vea, como en el psicoanálisis, el arte nos lleva a la apertura hacia el otro, quien, si no se lo considera en su derecho a la otredad, podría ser víctima de violación ética y violencia.
Responder
Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-01 21:42 PM
Comentarios:   ¿Podrían los oradores mencionar lo que los llevó a su selección particular de obras para esta conferencia? ¿Fue la presentación de hoy el primer análisis de ese artista / escritor?
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Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-01 21:42 PM
Comentarios:   Me parece que el entrecruzamiento con expresión poética y pictórica proviene de nuestro propio mundo interior, no del mundo poético exterior. ¿Qué piensas sobre eso?
Responder
Publicado por:   Dra. silvana rea
Publicado en:   2020-03-01 22:59 PM
Comentarios:   Las bases de la vida humana y su proceso de subjetivación se basan en la presencia del Otro. El proceso de subjetivación es inaugurado por los movimientos de identificación, cada uno constituyéndose del otro.
Por lo tanto, sujeto y mundo son inseparables, sin dejar de lado la importancia de las singularidades, que a menudo provocan un movimiento más allá del espíritu del tiempo.
Freud comienza el trabajo clínico y elabora su cuerpo teórico en línea con el momento histórico, en medio de una crisis de razón e identidad de la Ilustración fundada en la noción de idéntico, típico de finales del siglo XIX y principios del XX. Hoy, el entorno sociocultural enfatiza los problemas narcisistas, y el hombre contemporáneo sufre de vacío, de desilusión crónica, del desencanto del mundo y, sobre todo, de la incapacidad de cualquier relación de alteridad.
En la historia del arte podemos ver claramente que los movimientos artísticos están correlacionados con los momentos. Podemos decir que es en el Romanticismo que el arte se centra en la noción de sí mismo, de interioridad. Un yo que toma la escena por la libertad de expresión subjetiva del artista en empatía con su tema (Es por eso que dije que Keats, como poeta romántico, encaja bien leyendo para Bion y Meltzer).
A principios del siglo XX, el proceso de industrialización dividió a la sociedad en clases con profunda desigualdad. Además del advenimiento de la Primera Guerra Mundial, el sentimiento de ser se vuelve cada vez más fragmentario y en el arte, la "amargura de la belleza" se convierte en una epidemia entre los artistas, particularmente en el expresionismo, pero también en las vanguardias artísticas, del modernismo en el arte.
En el arte contemporáneo, en línea con el derecho de todos a elegir su estilo de vida y poder ejercer, experimentando con ellos mismos, la construcción de sí mismos, tenemos el ejercicio de la pluralidad: arte corporal, performance, pintura hiperrealista, graffiti.
En otras palabras, el sujeto y el mundo están unidos y en una relación continua, tanto por conformidad como por resistencia y oposición.
Responder
Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-01 21:42 PM
Comentarios:   Persona cambiante. ¿Podrías decir más al respecto por favor?
Responder
Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-01 21:41 PM
Comentarios:   Me gustaría proponer una consideración además del documento de Meg Harris. La posibilidad de tolerar las paradojas (Paulo C. Sandler), la imposibilidad de resolver las antinomias de la vida, sería la matriz de la inspiración artística, ¿una forma fundamental a través del hombre es la de conocer la realidad, interna y externa?
Responder
Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-01 21:40 PM
Comentarios:   Para Silvana: ¿Podría por favor elaborar un poco sobre cuestiones éticas sobre la interpretación de la obra de arte versus la interpretación en una sesión psicoanalítica?
Responder
Publicado por:   Dra. silvana rea
Publicado en:   2020-03-02 11:43 AM
Comentarios:   No podemos perder de vista el hecho de que una obra de arte no es una persona.
Pero al igual que la relación entre analista y paciente, entre lector y trabajo, también se trata del encuentro de la otredad, que exige escuchar y requiere comprensión.
Sin embargo, el artista solicita una interpretación si está en proceso de análisis, incluso si trae el trabajo para su análisis personal. Pero la comprensión producida en la sesión, el juego de figurabilidad experimentado allí, le concierne. Fuera de este alcance, lo que se ofrece para la interpretación (o lectura) es su trabajo, cuyo impacto y lectura también pone en marcha el juego de la figurabilidad y el conocimiento, pero se convierte en un elemento de la cultura.
Tanto el artista en el sofá como el trabajo en la exposición, como una relación de alteridad, crean un espacio "intermedio" como el espacio analítico transferencial, un lugar de experiencia donde el mismo se convierte en otro a través de la capacidad de migrar de uno a otro.
Transitar los límites del yo al otro es un punto fundamental de la ética psicoanalítica. Y en este sentido, entender el trabajo o el artista como la alteridad, como uno que se abre al otro, nos lleva a la ética de reconocer al otro como otro y no como "otro yo", lo que indica el acto de dominación y violencia. Esta ética que debería guiarnos dentro y fuera de la oficina.
Recientemente, hubo censura de la exposición "Queermuseu: cartografías de la diferencia en el arte brasileño". Entonces, la artista internacionalmente reconocida y premiada Adriana Varejão sufrió un violento ataque en la web, fotomontajes de ella en posiciones casi pornográficas y con malas palabras. Vea, como en el psicoanálisis, el arte nos lleva a la apertura hacia el otro, quien, si no se lo considera en su derecho a la otredad, podría ser víctima de violación ética y violencia.
Responder
Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-01 21:40 PM
Comentarios:   Meg, en tu libro en el capítulo de poesía post-kleiniana que escribes sobre la aparición de una dimensión estética en el psicoanálisis, ¿cómo puedes explicar esto?

RESPONDER:
Acerca de la dimensión estética en el psicoanálisis: esto aparece en Bion posterior, aunque es Meltzer quien lo desarrolla, primero en El proceso psicoanalítico cuando nota un sentimiento estético mutuo en analista y paciente hacia el final de un análisis; Más adelante en la idea de conflicto estético subyacente a todas las crisis de desarrollo. Meltzer y otros piensan en el psicoanálisis como una ciencia del arte, es decir, una mezcla, no como alternativas: el método es artístico, debido a la dependencia de la intuición de ensueño y transferencia, y los resultados se suman gradualmente a una búsqueda científica de conocimiento. Pero dado que ambos dependen de la capacidad de observación y percepción, no hay mucha diferencia. El principal problema son las pretensiones pseudocientíficas, que interfieren con la percepción.
(Mi propio interés en Keats se remonta mucho tiempo atrás a mi disertación doctoral sobre Inspiración en Milton y Keats, que fue rechazada por la Universidad de Oxford por ser herética, aunque todo mi trabajo posterior se basa en esto).
Actualizado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Actualizado en:   2020-03-01 10:15 PM
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Publicado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Publicado en:   2020-03-01 21:39 PM
Comentarios:   ¿La experiencia de la creatividad lleva al poeta a su relación preverbal con la madre?

RESPONDER:
Quise agregar, sobre el poeta y la relación preverbal con la madre: esto es lo que los poetas quieren decir con inspiración y escuchando las palabras de la musa (madre / objeto interno). Debido a que la poesía, aunque en palabras, es una forma de presentación, no una forma discursiva (distinción de Susanne Langer), se remonta a los orígenes del lenguaje en la comunicación musical preverbal, y su significado existe en niveles complejos. La formación de símbolos se basa en la primera relación con el objeto materno o materno, no con el objeto paterno, y los poetas están en contacto con esto.
Actualizado por:   Dr. Dipl. Psicoanalizar. Eléana Mylona
Actualizado en:   2020-03-01 10:16 PM
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Publicado por:   Lic. Silvia Wajnbuch
Publicado en:   2020-02-25 12:21 PM
Comentarios:   Queridos todos,
Gracias por asistir al seminario web de la API y bienvenidos al grupo de discusión.

Esperamos que haya disfrutado la sesión y haya encontrado útiles las presentaciones. Si desea volver a ver el seminario web, puede acceder a la grabación en esta página.

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Silvia Wajnbuch - Coordinadora de seminarios web de IPA
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Publicado por:   Dra. Emily Bilman
Publicado en:   2020-02-26 16:28 PM
Comentarios:   Al Sr. Jean-Claude Rolland:
Habiendo establecido que la represión es una condición dada de cualquier esfuerzo creativo, te pregunté cómo funciona este enlace y respondiste "a través de la memoria". Bur memoria es una facultad mental multifacética. ¿Crees que es la síntesis de funciones mnemotécnicas específicas involucradas en el acto creativo lo que combina los recuerdos emocionales con los recuerdos a largo y corto plazo? Sin embargo, incluso si es así, la objetivación de las emociones puestas en papel o esculpidas o en cualquier otra forma de arte proporciona una resolución parcial de la condición edípica. Me gustaría conocer su opinión sobre mi comentario, que también le gusta a la epistemología y nuestra relación con el conocimiento, su interpretación y aplicación en general. Dr. Emily Bilman
Responder
Publicado por:   Dra. Emily Bilman
Publicado en:   2020-02-26 16:27 PM
Comentarios:   Al Sr. Jean-Claude Rolland:
Habiendo establecido que la represión es una condición dada de cualquier esfuerzo creativo, te pregunté cómo funciona este enlace y respondiste "a través de la memoria". Bur memoria es una facultad mental multifacética. ¿Crees que es la síntesis de funciones mnemotécnicas específicas involucradas en el acto creativo lo que combina los recuerdos emocionales con los recuerdos a largo y corto plazo? Sin embargo, incluso si es así, la objetivación de las emociones puestas en papel o esculpidas o en cualquier otra forma de arte proporciona una resolución parcial de la condición edípica. Me gustaría conocer su opinión sobre mi comentario, que también le gusta a la epistemología y nuestra relación con el conocimiento, su interpretación y aplicación en general. Dr. Emily Bilman
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Publicado por:   meg harris williams
Publicado en:   2020-03-01 11:29 AM
Comentarios:   Quise agregar, sobre el poeta y la relación preverbal con la madre: esto es lo que los poetas quieren decir con inspiración y escuchando las palabras de la musa (madre / objeto interno). Debido a que la poesía, aunque en palabras, es una forma de presentación, no una forma discursiva (distinción de Susanne Langer), se remonta a los orígenes del lenguaje en la comunicación musical preverbal, y su significado existe en niveles complejos. La formación de símbolos se basa en la primera relación con el objeto materno o materno, no con el objeto paterno, y los poetas están en contacto con esto.
Publicado por:   meg harris williams
Publicado en:   2020-03-01 08:07 AM
Comentarios:   Intentaré escribir una respuesta que cubra varios de los puntos originales planteados. Creo que el poeta tiene un poder especial de percepción más que de proyección; proyección-introyección es el mecanismo habitual. La capacidad de percibir la realidad externa se basa en el grado en que estamos en contacto con la realidad interna. El dolor del poeta se deriva de la percepción de la belleza del mundo (incluida la belleza humana y psíquica) y los ataques sobre él, y escribe poesía básicamente porque tiene ese talento particular y siente la necesidad de usarlo para tratar de restaurar o reparar el belleza dañada Es muy posible que tenga dolores de vida personales, pero estos se absorben en el dolor general de la percepción elevada, que se agudiza y alivia con el proceso de trabajo (poesía). Las personas cambiantes son como vértices cambiantes: son formas de percepción, desde diferentes ángulos, que llegan al corazón del dolor. Pero el poeta a menudo siente que su tiempo personal se está utilizando en nombre de la humanidad en su conjunto, y es más beneficioso para los demás que para sí mismo.

Acerca de la dimensión estética en el psicoanálisis: esto aparece en Bion posterior, aunque es Meltzer quien lo desarrolla, primero en El proceso psicoanalítico cuando nota un sentimiento estético mutuo en analista y paciente hacia el final de un análisis; Más adelante en la idea de conflicto estético subyacente a todas las crisis de desarrollo. Meltzer y otros piensan en el psicoanálisis como una ciencia del arte, es decir, una mezcla, no como alternativas: el método es artístico, debido a la dependencia de la intuición de ensueño y transferencia, y los resultados se suman gradualmente a una búsqueda científica de conocimiento. Pero dado que ambos dependen de la capacidad de observación y percepción, no hay mucha diferencia. El principal problema son las pretensiones pseudocientíficas, que interfieren con la percepción.
(Mi propio interés en Keats se remonta mucho tiempo atrás a mi disertación doctoral sobre Inspiración en Milton y Keats, que fue rechazada por la Universidad de Oxford por ser herética, aunque todo mi trabajo posterior se basa en esto).

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